Thomas Partey : l’international ghanéen plaide non coupable de viols et d’agressions sexuelles à Londres

Thomas Partey : l’international ghanéen plaide non coupable de viols et d’agressions sexuelles à Londres

Procès de l’international ghanéen Thomas Partey : une mise en accusation pour viols et agressions sexuelles

Le joueur de football Thomas Partey, international représentant le Ghana, s’est présenté au tribunal de Southwark Crown Court, à Londres, où il a déclaré ne pas être coupable des accusations qui pèsent contre lui. Ces accusations concernent plusieurs faits présumés de viols et d’agressions sexuelles.

Lors de l’audience qui s’est tenue mercredi, l’ancien milieu de terrain d’Arsenal, recruté récemment par Villarreal en Espagne, a confirmé son identité et sa date de naissance. Le tribunal a entendu sa déclaration de non-culpabilité lors d’une courte session. La procédure judiciaire se poursuivra, avec une date de procès fixée au 2 novembre 2026, selon l’indication du juge.

Les accusations et la chronologie des faits présumés

Thomas Partey est poursuivi pour cinq chefs d’accusation de viols concernant deux femmes, ainsi qu’un chef d’agression sexuelle à l’encontre d’une autre victime. Les faits reprochés se seraient déroulés entre 2021 et 2022, période durant laquelle il évoluait sous les couleurs d’Arsenal, club prestigieux du nord de Londres.

Une carrière Football en transition

Le milieu de terrain d’origine ghanéenne a entamé sa carrière en Espagne, dans le club de l’Atlético Madrid, avant de rejoindre le championnat anglais en 2020. Son transfert récent vers Villarreal, effectué en août dernier, intervient peu après la fin de son contrat avec Arsenal. Mardi soir, il a disputé un match de Ligue des champions contre Tottenham, à Londres, où il a été remplacé en cours de rencontre.

Une affaire encore en cours, sans présomption de culpabilité

Il est important de rappeler que Thomas Partey n’a pas été condamnée à ce stade de la procédure. Les accusations restent à être prouvées lors du procès prévu en novembre 2026. La justice anglaise examine ces faits dans le cadre d’une procédure judiciaire régulière, garantissant le respect du principe de présomption d’innocence jusqu’à preuve du contraire.